Après être allé a Mérulik combattre les ennemis de Galoregor, je m'en allais sur le bord d'une falaise verdoyante ou siégeait un grand chêne d'une noblesse et d'une beauté incroyable. De cette falaise je pouvais contempler les 3 citées des plus impressionnantes, qu'elles soient ennemis ou pas. "Qui des trois sera l'unique" cette phrase resta gravé en moi depuis le jour ou je l'ai entendus...
Je m'allongeais contre le chêne et sentit la brise hivernale qui glissait sur mon visage, le soleil disparaissait derrière des nuages d'une couleur grisâtre qui tournaient au noir. Après avoir allumé un feu, je restais figé devant la danse des flammes d'une couleur cramoisie qui ensuite prenait la couleur d'un coucher de soleil majestueux. Le bruit du bois qui crépitaient me faisait du bien je ne sais pourquoi mais je me sentais bien et tranquille loin de tout dangers.
Depuis que je suis sur cette terre je me demandais si le Très-Haut veillait sur nous?
Toutes ces guerres atroce est-ce ça notre destin a tous...parfois j'ai l'impression de me sentir seul isolé de tout monde, tant de chaos dans ce monde, tant de haine.
le Très-Haut existe t'il vraiment? Si oui je lui demande pitié d'en douter, nous avons tous un souverains, une voie à suivre,un destin,mais je perds la foi, je perds la confiance...confiance qu'est ce que cela voulait dire à mes yeux?
Je sais plus qui je suis, je sais pas ce que je fais ici, les dieux s'il y'en a plusieurs, sont des lâches de nous laissés douter autant.
Que le Très-Haut est pitié de moi si je l'offense mais à présent je le rejette, je n'y crois plus, je n'y croirais plus jamais.
Je prenais ma pipe séchée par le froid et la remplissait d'herbe provenant des contrées les plus verdoyantes de ce monde....
Après avoir tirés plusieurs bouffées de fumé je m'endormis sereinement.
*com o credo perecerá*